La revue de presse PSG

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce vendredi 17 juin 2016.

« Pauvre Thiago Motta. Ravi de disputer l’Euro alors qu’il n’était pas, en début de saison, un premier choix pour Antonio Conte, le milieu défensif du PSG s’est retrouvé bien malgré lui au coeur d’une polémique bien italienne. Juste avant l’Euro, il s’est retrouvé, sur décision de Conte, affublé du numéro 10. Mais pour nombre de tifosis, ce numéro est le Panthéon du Calcio : seuls les plus grands peuvent y prétendre (Rivera, Baggio, Del Pierro ou Totti), écrit Le ParisienSon agent, Alessandro Canovi, préfère en sourire. « Les polémiques, c’est inutile, mais en Italie, c’est plus fort que nous, soupire-t-il. On adore ça ! » Il est vrai qu’en France, c’est Gignac, pas non plus un lointain successeur de Platini ou de Zidane, qui porte ce numéro sans que cela fasse couler un centilitre d’encre. L’intéressé, longtemps silencieux, s’est expliqué : « Si j’avais dû choisir moi-même, j’aurais demandé le 8. La vérité c’est que ce n’est pas un numéro qui va me changer. Je ne suis pas meilleur parce que je porte le 10, mais je ne suis pas plus mauvais non plus. » Face à la Suède de son ami Zlatan, il compte bien le prouver, en cassant le jeu et le rythme suédois. Il fera son habituel numéro en somme… »

« La Gazzetta dello sport a résumé le duel contre la Suède à des retrouvailles avec Zlatan Ibrahimovic. Exagéré ? Même pas. Depuis la piteuse impression laissée face à l’Eire (1-1), tout le pays broie du noir, lit-on dans L’Equipe. Pour espérer surprendre l’Italie, la Suède sait qu’elle compte un joueur hors norme, qui sort de sa meilleure saison statistique en club (50 buts en 51 matches avec le PSG). Elle devra espérer que sa star soit à la hauteur de son statut autoproclamé de « légende » mais d’abord élever sacrément son niveau dans tous les secteurs de jeu. »

« Le PSG a obtenu l’annulation, lundi, par le conseil d’État, des décisions prises en 2013 par la CNIL, rapporte le quotidien sportif. Les mises en demeure adressées au club au sujet de deux fichiers regroupant les interdits de stade («IDS»), et les supporters «indésirables» selon les termes utilisés par la commission à l’époque. Le PSG avait attaqué cette mise en demeure, qui vient donc d’être annulée pour vice de forme dans un premier arrêt. Dans un second arrêt, la plus haute juridiction française considère que la CNIL ne saurait interdire au club d’établir des fichiers relatifs à la violation de son règlement intérieur. Les associations de supporters considèrent, elles, que cette décision du Conseil d’État ne concerne pas les supporters fichés au nom des «valeurs». Ces deux décisions interviennent quelques semaines après le vote de la loi Larrivée sur l’encadrement des supporters et la lutte contre le hooliganisme. Ce  » Le PSG va aussi empocher 5000 euros de la part de l’État pour les frais de procédure engagés.

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