La revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce lundi 6 novembre 2017.

« En associant à Cavani Neymar pour 220M€ et Mbappé dont le prêt aboutira à un transfert à 180M€, le PSG s’est assuré sur le papier, cet été, une attaque de rêve. Mais le club a trouvé une carburation hors-norme encore plus rapidement qu’on ne pouvait le prédire, juge Le Parisien. Avec 58 buts marqués, Paris toise de très loin ses concurrents européens. Inscrire plus de trois buts par match est une prouesse seulement partagée par Manchester City. En championnat, ses 39 réalisations, contre 26 par exemple en 2015-2016 (quand le PSG de Laurent Blanc avait été sacré en mars), mettent déjà Paris sur les bases d’un record historique, propriété du Racing Club de Paris auteur de 118 buts… en 1960. S’ils maintiennent leur rythme actuel, les Parisiens peuvent espérer en marquer plus de 123 ! Certains seraient peut-être tentés de moquer une supposée friabilité des défenses hexagonales. Mais Paris présente aussi la meilleure attaque de la Ligue des champions avec 17 buts, soit plus de quatre par match ! »

« Quatre mois après son arrivée, Daniel Alves donne l’impression d’avoir toujours fait partie du paysage parisien, observe L’Equipe. Son influence sur le terrain se mesure concrètement, par des chiffres affolants d’abord : 11 victoires en 11 matches en tant que titulaire – 40 buts marqués, 3 encaissés – mais pas seulement. Par son volume de courses, sa qualité technique, cette capacité à orienter le jeu intelligemment et à s’adapter aux appels de ses coéquipiers également. Daniel Alves, excepté sur quelques séquences – notamment face à Anderlecht et à Dijon –, n’est jamais apparu en difficulté cette saison. De quoi rassurer ceux qui craignaient de voir le « vétéran » venir en préretraite au Camp des Loges. « Ce qui a impressionné le plus les joueurs je crois depuis son arrivée, surtout les jeunes, c’est qu’il a quatre poumons. Il a une énergie incroyable », souffle un proche du groupe. Et ce n’est sans doute pas un hasard si les deux ‘contre-performances’ récentes du PSG face à l’OM et Montpellier se sont faites sans le Brésilien d’entrée. […] « Quand j’étais sur le terrain, c’est vraiment lui qui replaçait tout le monde, c’était le patron tout simplement, prolonge l’Angevin Gilles Sunu. Il criait vraiment sur Thiago Silva, qui est le capitaine, et à l’inverse, je n’ai pas entendu ce dernier lui donner beaucoup de consignes, c’est vraiment ça qui m’a surpris. » Un leader influent sur le terrain, doublé d’un gagneur. Il n’accepte pas de perdre un match, même durant l’entraînement. Précisément la mentalité attendue par Unai Emery et ses dirigeants« .

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