Revue de presse PSG : Lucas Chevalier, Warren Zaïre-Emery…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce dimanche 16 novembre 2025. Lucas Chevalier lancé dans le grand bain des Bleus, une première sélection sous tension pour le gardien du PSG, un passage en Espoirs salvateur pour Warren Zaïre-Emery…

L'Equipe 16 11

Dans son édition du jour, L’Equipe fait un focus sur Lucas Chevalier. Le gardien du PSG devrait connaître sa première sélection en équipe de France ce dimanche après-midi (18 heures, TF1) contre l’Azerbaïdjan. Tancé par les observateurs pour ses performances jugées décevantes avec le Paris Saint-Germain, l’ancien Lillois a été soutenu par Didier Deschamps, en conférence de presse d’avant match. Le sélectionneur des Bleus a expliqué « ne pas avoir la même analyse sur les difficultés de Lucas ». Quelques minutes plus tôt, Ibrahima Konaté avait aussi répondu à une question sur son coéquipier : « Depuis Lille, il montre énormément de qualités. Je suis très heureux pour lui. Il le mérite et j’espère qu’il le montrera à toute la France. ». De son côté, Lucas Chevalier n’a jamais changé d’état d’esprit. Il ne se formalise pas des critiques autour de lui et assure toujours regarder le match à venir plutôt que celui passé. Il n’écoute, pour l’instant, que les remarques de Luis Enrique ou de Borja Alvarez, son entraîneur des gardiens, qui n’ont montré aucun signe d’une confiance effritée. À Bakou, il sera forcément très scruté dans une rencontre qui ressemblera à celles des Parisiens en Ligue 1, avec, probablement, peu de travail à effectuer, conclut L’Equipe

Le Parisien 16 11

De son côté, Le Parisien parle aussi de Lucas Chevalier. Le gardien du PSG devrait connaître sa première sélection avec l’équipe de France cet après-midi. Ce rendez-vous, forcément particulier pour le jeune Ch’ti, intervient dans une période agitée. Ses dernières prestations, pas toujours clean, ont alimenté le débat sur sa capacité à faire au moins aussi bien que son prédécesseur Gianluigi Donnarumma à Paris. Recruté pour plus de 40 millions d’euros par les champions d’Europe, l’ancien Lillois vit un apprentissage en accéléré depuis son arrivée dans la capitale début août, assure le quotidien francilien. Après le like gate, Chevalier n’a pas non plus ressenti le besoin d’en parler. Depuis qu’il a débarqué lundi au château de Clairefontaine, il diffuse ce même sourire communicatif et blague comme si de rien n’était avec le reste de ses partenaires. « Il a bien sûr été touché par la récupération politique de son like accidentel sur une publication pro-RN, les messages acerbes sur les réseaux sociaux et les critiques depuis qu’il a cherché à s’expliquer en longueur sur Instagram. Mais il a voulu vite tourner la page, conscient qu’en cas de qualification contre l’Ukraine (succès 4-0), il aurait sa carte à jouer. » Plus qu’une grande fête, cette première en bleu doit lui permettre de gagner en confiance en justifiant le choix du sélectionneur de l’avoir promu début juin. Dans un match dénué d’enjeu sportif, où il pourrait ne pas avoir grand-chose à se mettre sous la dent au vu du rapport de force, Lucas Chevalier aura quand même l’opportunité de montrer une partie de sa panoplie. Dans l’environnement de la sélection, on trouve que le procès qui lui est fait en ce moment est un peu dur, voire injuste. Au PSG, il doit répondre à de nouvelles demandes qui peuvent nécessiter un peu de temps d’adaptation et découvre une pression à des années-lumière de celle qu’il a connue à Lille, tout en ayant vécu une intégration presque normale finalement, lance Le Parisien. Bien installé désormais dans la capitale, après avoir logé de longues semaines à l’hôtel, Lucas Chevalier a retrouvé un semblant de normalité au quotidien, censée lui permettre d’améliorer ses performances, conclut le quotidien francilien.

A lire aussi : Zaïre-Emery : « Je suis allé en Espoirs pour prendre cette confiance »

canalsupporters.com
L'Equipe 16 11 2025 (1)

L’Equipe évoque aussi Warren Zaïre-Emery. Après un début de saison difficile qui lui a coûté sa place en équipe de France, le titi du PSG a retrouvé son niveau, avec notamment un passage salvateur en équipe de France Espoirs. « Parfois, mettre des mots sur une période difficile et les exprimer publiquement peut faire l’effet d’un soulagement. C’est peut-être le cas pour Warren Zaïre-Emery. Le 7 octobre, après avoir retrouvé les Espoirs qu’il avait quittés deux ans plus tôt pour basculer chez les A, le milieu parisien (19 ans) a parlé pour la première fois de sa difficile saison 2024-2025. » Cette journée a peut-être marqué un point de bascule dans son histoire chez les Bleus. Et joué un rôle décisif dans sa route vers la Coupe du monde. Cette prise de parole a été accompagnée de deux matches pleins, contre les îles Féroé (6-0) et l’Estonie (6-1), puis d’une convocation chez les A en novembre grâce, aussi, à onze titularisations d’affilée avec le PSG, avance le quotidien sportif. « Dans son entourage, on évacue la thèse d’une libération à la suite de ses confessions publiques. On avance plutôt celle d’un joueur qui a repris confiance, qui est redevenu celui qui demande le ballon et cherche à faire avancer le jeu comme il le faisait à ses débuts. » Au-delà d’un discours libérateur, Zaïre-Emery a été responsabilisé en Espoirs, ce qu’il n’était plus au PSG et n’a jamais été avec les A. Il fallait simplement lui faire comprendre qu’il était toujours un joueur important. Le quotidien du PSG est tellement rapide que Luis Enrique prend très rarement le temps d’échanger longuement avec les joueurs qui rencontrent des difficultés. Chez les Espoirs, Baticle connaissait sa mission. En privé, le sélectionneur a souvent rappelé à ses interlocuteurs, durant ces quelques journées, que son rôle était de tout faire pour permettre au Parisien de revenir en A dès novembre, conclut L’Equipe







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