Marca évoque un contrat entre Neymar et QSI pour payer la clause libératoire

De Madrid, on observe le feuilleton Neymar avec intérêt. Ainsi Marca, quotidien sportif de la capitale espagnole, affirme que cette semaine, Antero Henrique, la membre du Board Sophie Jordan, et le père (également agent) de Neymar, se sont bien mis d’accord verbalement sur l’activation de la clause libératoire (222M€ HT), sur un salaire net annuel de 30M€ et une prime à la signature de 40M€ brut. Échaudé il y a un an, « le PSG reste prudent, pour ne pas connaître une nouvelle déception », écrit le journal.

Surtout, il est question d’alternative économique dans un contexte de fair-play financier, il est question d’un contrat indépendant entre Neymar et QSI. Avec cet argent en provenance du fonds d’investissement du Qatar, la star brésilienne casserait son contrat en faisant le dépôt de 222M€ au siège de la Liga. Comme il se doit pour faire jouer une clause libératoire. Mais sans impacter les finances du PSG. La rupture contractuelle serait ainsi dissociée de la signature à Paris, pour faire simple. Car en réalité tout cela est juridiquement complexe. En effet, l’UEFA peut associer l’origine des fonds (QSI) au PSG. L’idée est donc plus travaillée que ce résumé proposé par Marca.

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