Revue de presse PSG : Etoile Rouge, Neymar, Verratti…

Vu et lu au sujet du PSG ce mercredi 3 octobre 2018 dans la presse hexagonale.

« Après une défaite logique à Liverpool (3-2) en ouverture de sa campagne européenne, le PSG doit vite ré-afficher ses ambitions en Ligue des champions, ce soir, contre l’Étoile Rouge de Belgrade, écrit l’AFP. Que faut-il attendre de l’équipe de Tuchel cette saison sur la scène continentale ? Il est trop tôt pour le dire et ce n’est pas la réception des Serbes au Parc des Princes qui permettra de trancher ; mais les Parisiens ont l’obligation de redresser la barre après leur revers à Anfield. Neymar avait notamment été particulièrement décevant outre-Manche et ses arabesques seront, comme d’habitude, au centre des attentions, tout comme les déboulés de Mbappé. »

Le journal Le Parisien propose un long entretien avec Marco Verratti (extraits ici). Et parle de Neymar Jr avec cette question : « On efface tout et on recommence ? » Et ce commentaire : « La météo qui enveloppe Neymar, depuis son arrivée, est instable, imprévisible, ensoleillée par séquences, éblouissante par instants avant de virer à l’orage soudainement. Il y a deux semaines, à Liverpool, premier grand test de la saison, le Brésilien semblait impuissant, désabusé, à la peine physiquement. Aujourd’hui, à la faveur de sorties convaincantes en L1, il serait redevenu épanoui, souriant et détendu. Une idée renforcée par la tenue d’une conférence de presse de la star, hier. »

Ce mercredi, à 18h55, le PSG accueille l’Etoile Rouge de Belgrade. « Les leçons de Liverpool ont été tirées. Le rebond est obligatoire pour espérer jouer un rôle dans un groupe C très relevé, juge le quotidien francilien. Face à la densité attendue, Paris devrait de nouveau évoluer avec Neymar en position de meneur de jeu avec pour mission de créer des brèches dans la muraille serbe. »

« Maintenant que la défaite à Anfield a fini d’officialiser les carences du mercato, notamment au milieu, il est temps, peut-être, de constater que ce PSG au complet a largement les moyens de rivaliser avec les meilleures formations du continent. Et ça tombe bien, ce soir, Paris est quasiment au complet, écrit L’Equipe. Tuchel enregistre le retour de Verratti et il a sous la main tout ce qu’il faut pour bâtir ce qui ressemble de très près à son équipe type de la saison. Du coup, on va savoir ce qu’elle a dans le ventre et dans les jambes. L’Étoile Rouge n’est pas vraiment Liverpool mais le scénario de la soirée dira si le PSG, en cet automne naissant, a les armes. […] Manifestement, les Parisiens sont sereins. […] Le PSG, qui a toujours marqué au moins deux buts par match depuis le début de la saison, semble porté par un élan collectif qu’il serait regrettable de contrarier par quelques soucis d’ego. »

« Joueur précoce, Verratti fait ce soir son retour en Ligue des Champions, une compétition où il peine à exploser vraiment, juge Arnaud Hermant. Annoncée depuis l’été 2017, sa prolongation de contrat n’a toujours pas été officialisée. Les deux parties continuent de discuter d’un bail jusqu’en 2023. Selon certaines sources, un accord serait proche. Par ailleurs, le contentieux avec son ancien agent, Donato Di Campli, remplacé, n’est toujours pas réglé. »

Unanimement, le PSG est attendu en 4-2-3-1. « Entre Meunier et Bernat, on devrait retrouver la paire Thiago Silva-Kimpembe. Tuchel a décidé, sauf revirement, de laisser Marquinhos au repos, précise le journal sportif. Le Brésilien a beaucoup joué et son entraîneur le ménage. Rabiot sera suspendu dimanche. »

« Jusqu’ici, tout va bien. Sur le fond comme sur la forme, le PSG de Tuchel avance dans le bon sens en dépit des vicissitudes classiques d’une année post-Coupe du monde. Le coach allemand a déjà posé sa patte, et, malgré l’accroc de Liverpool, le bilan est positif. Surtout prometteur, explique Le Figaro. Si le technicien allemand séduit les observateurs, c’est encore plus le cas des joueurs. Subjugués par leur nouvel entraîneur, ses méthodes, sa personnalité, son style. […]Cette opération séduction permet à Tuchel des libertés qu’Emery n’a jamais eu. 3-5-2, 3-4-2-1, 4-4-2, 4-3-3, 4-2-3-1… Le schéma change de match en match. »

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