Le PSG réagit officiellement au propos de Jean-Michel Aulas
A priori, le président de l’OL a cette fois dépassé les bornes. Les « nouvelles déclarations erronées et calomnieuses de Jean-Michel Aulas » ont irrité au siège du PSG. Qui cette fois répond.
« On est dans un contexte déraisonnable avec le PSG, qui porte atteinte à l’image et l’éthique de la Ligue 1. Quand je vois le montant du licenciement de Blanc, qui atteint le chiffres d’affaires de la plupart des clubs de Ligue 1… Les indemnités évoquées pour Laurent Blanc sont indécentes » avait lancé hier le dirigeant lyonnais avant d’évoquer des règles fiscales différentes pour le PSG…
Le communique du
PSG
Le club a toujours été très respectueux de l’ensemble des
règles de la loi française, de la Fédération Française de Football
et de la Ligue de Football Professionnel.
Depuis l’arrivée de Qatar Sports Investments, les charges
sociales, patronales et salariales ont notamment augmenté de 283%
en cinq ans. Plus le club grandit, plus il nourrit les différentes
collectivités publiques et organismes sociaux de ses multiples
contributions économiques et financières. Le Club se réjouit
également d’avoir crée de nombreux emplois sur ses différents sites
depuis cinq ans.
Les impôts, taxes et charges diverses acquittés
représentent annuellement plus de 170M€, pratiquement l’équivalent
du budget d’un club comme l’Olympique Lyonnais, dans la
mesure où Jean-Michel Aulas, au vu de ses déclarations du 22 juin,
semble goûter particulièrement les comparaisons.
Le Paris Saint-Germain invite une nouvelle fois
Jean-Michel Aulas à concentrer ses commentaires uniquement sur les
affaires de son Club et à s’abstenir de dénigrer d’autres
clubs, le Paris Saint-Germain en particulier.
Le club rappelle qu’il s’est pour sa part toujours
montré respectueux vis-à-vis de l’ensemble des clubs
français et de leurs dirigeants.
Les résultats sportifs et économiques de notre club, ainsi que
son impact médiatique, représentent plus que jamais des atouts
majeurs du football français pour attirer à l’avenir plus
d’investisseurs, à Lyon comme ailleurs.