
PSG : La trêve internationale, les retours de blessures, le RC Strasbourg … La conférence de presse de Luis Enrique
A la veille de la réception du RC Strasbourg, le PSG se prépare et Luis Enrique a répondu aux questions des journalistes en conférence de presse d’avant-match. L’occasion pour le technicien espagnol d’évoquer l’état de son groupe, le retour de trêve ou encore l’adversité des Alsaciens.
Le retour de la trêve (PSG TV)
« C’est le premier jour où on a tous les joueurs. Vous connaissez la difficulté qu’on a quand on revient de la trêve internationale ».
L’adversité du RC Strasbourg (PSG TV)
« On parle de l’une des meilleures équipes de la Ligue 1. C’est motivant, on peut voir un très bon match. On connaît leur niveau, il faut être prêt pour avoir quelques complications car ça sera serré ».
Octobre rose (PSG TV)
« Le sport et le football ont cette capacité de fédérer autour d’une cause. Le PSG est un club spécial, avec une sensibilité particulière, toujours prêt à aider ».
La trêve internationale
« Ce sont toujours des surprises avec une trêve internationale. Il faut attendre quand arrivent les joueurs et voir comment ils vont. Il y a différentes situations personnelles qu’il faut analyser de manière individuelle ».
L’imbroglio autour de la blessure de Bradley Barcola
« Ça ne m’intéresse pas. Autour d’une équipe de haut niveau, il y a tout le temps du bruit. Beaucoup de gens ont parlé sur ça. Je parle de l’équipe et ce que je veux dire c’est que les complications ne m’intéressent pas. Ce qui m’intéresse est le niveau de l’équipe et la santé des joueurs ».
Pacho, le meilleur au monde à son poste ?
« La prochaine semaine on parlera de Marquinhos, celle d’après je ne sais pas… Ce n’est pas le moment d’en parler. Pour analyser un joueur et une équipe, il faut attendre la fin de la saison et le niveau. Ce n’est pas le moment d’analyser individuellement chaque joueur ».
Sa pratique personnelle de sport
« Je ne peux pas m’entraîner comme un sportif de haut niveau car j’ai 55 ans et je suis plus un grand-père qu’un sportif de haut niveau. Je suis actif et j’aime faire du sport, c’est important pour moi ».
Marquinhos et Désiré Doué disponibles face au RC Strasbourg ?
« Je ne sais pas. On va faire le premier et le dernier entraînement de la semaine aujourd’hui, il faut parler avec les joueurs pour parler de leur feeling […] Est-ce qu’on a fait le plus dur ?Je ne sais pas ce qu’il va se passer à l’avenir. J’espère que le nombre de blessure sera meilleur ».
A propos des retours de blessures et d’Ousmane Dembélé
« Je ne sais pas combien de jours il va être blessé. Je peux voir le niveau des joueurs aux entraînements. On cherche à ne pas prendre de risque avec la santé des joueurs. Les blessures font partie du foot du haut niveau. On cherche à améliorer la santé des joueurs. Quand on récupère des joueurs et qu’ils commencent à s’entraîner, c’est facile pour moi de voir comment ils vont et s’ils sont prêts. Pour voir si un joueur est prêt, il faut attendre le voir sur la pelouse ».
Le match face au RC Strasbourg
« Après la trêve, c’est toujours un match difficile. Ils ont une très bonne équipe, les résultats sont là. C’est aussi une très jeune équipe. Ce sera serré et costaud. On cherche à avoir de meilleurs résultats mais on commence avec l’un des matchs les plus difficiles ».
Peu de préparation avant le match de LdC ?
« Ça ne change rien, on est habitués, on va faire un entraînement avant le match de demain. Après, ça sera un entraînement de récupération puis de préparation, ce ne sont pas des entraînements où tu peux travailler tactiquement. On est habitués à préparer des matchs de cette manière ».
Les raisons des blessures ?
« C’est la nature, c’est le foot, beaucoup de conditions. Une blessure, c’est multi-factorielle. Ce n’est pas pour une seule raison. C’est la difficulté de savoir où sont les axes d’améliorations. C’est le sport de haut niveau, il faut savoir vivre avec ça ».
A propos de Gonçalo Ramos
« C’est un joueur important pour nous, peu importe son temps de jeu. On est très contents de ses performances. On le juge sur son rendement. On a confiance en sa capacité et on est contents de lui ».
Un ascendant mental sur les adversaires ?
« Il faut poser la question aux adversaires, pas à moi. On prépare les matchs toujours de la même manière, même avec les absences. En arrivant ici, on a cherché à toujours gérer les matchs et être dominants. C’est notre mentalité. Mais les adversaires s’adaptent à ce qu’on fait et on doit changer ce qu’on fait ».