Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce mercredi 7 décembre 2016.

« Le PSG retrouvera la Ligue des champions sur la pointe des pieds et sans jouer les fiers, en février prochain, commente L’EquipeUne nouvelle fois, les Parisiens ont étalé des limites qui risquent de s’avérer fatales, lorsque les tours à élimination directe vont arriver, s’ils ne les corrigent pas d’ici là. Face aux Bulgares, ils ne se sont pas créés suffisamment d’occasions dans le jeu et quand ils s’en sont procuré sur phases arrêtées, ils n’ont pas eu le geste juste pour marquer alors que Ludogorets, reversé en Ligue Europa, ne s’est approché que deux fois du but d’Alphonse Areola. À chaque fois, il a marqué. […] Encore une fois, Cavani a marqué, s’offrant un 20e but en autant de matches mais il est trop seul devant. […] Le public du Parc des Princes avait toujours témoigné de la bienveillance pour les Parisiens. Depuis mardi, c’est fini. La réception du leader de la Ligue 1 Nice, dimanche, était déjà considérée en interne comme un rendez-vous capital de cette fin d’année 2016. L’ambiance dans les tribunes, et la défiance que pourrait témoigner une partie du Parc des Princes envers son équipe, pourraient crisper encore un peu plus la prochaine soirée. »

Les notes de L’Equipe : Areola : 4 / Meunier : 3 / Thiago Silva : 4 / Marquinhos : 2 / Maxwell : 4 / Thiago Motta : 3 / Matuidi : 4 / Di Maria : 3 / Ben Arfa : 4 / Lucas : 4 / Cavani : 6 / U. Emery : 3.

Les notes du Parisien : Areola : 3.5 / Meunier : 4 / Thiago Silva : 3.5 / Marquinhos : 3 / Maxwell : 4 / Thiago Motta : 3.5 / Matuidi : 4.5 / Di Maria : 3 / Ben Arfa : 3.5 / Lucas : 3.5 / Cavani : 4.5

« La première place du groupe s’envole et la crise fait son apparition, affirme Le Parisien. Un fiasco retentissant ? C’est pire que ça. Il s’agit d’un accident industriel, sans doute le plus gros de l’histoire de QSI depuis qu’il a racheté le PSG en 2011. Les Gunners, pas des terreurs, gagnent ce sprint au ralenti et doivent se tordre de rire en pensant au scénario qui les conduit là. […] Paris s’enfonce dans la crise, évitant d’un rien une deuxième défaite d’affilée. Montpellier n’était donc pas un accident. […] Cinq tirs cadrés adverses, une défaite 3-0 et un nul 2-2 ? […] Que peut-il arriver à Unai Emery si le Gym possède sept points d’avance dimanche soir sur le PSG ? On sait que les crises dans la capitale se manifestent par leur violence inouïe, leur ampleur déraisonnable et gargantuesque. Cette gueule de bois amène deux constats. D’abord, Emery touche les limites de son management sportif, avec une absence de concurrence, de rotation et un jeu morne. L’autre constat touche la direction, hormis Patrick Kluivert qui est arrivé trop tard (mi-juillet) pour influer vraiment sur le mercato. Il dit que le recrutement du PSG s’est déroulé en dépit du bon sens, avec des choix pour l’instant incompréhensibles (Jesé et Krychowiak, 55 M€ à eux deux) et une absence de doublure à Cavani. Des erreurs qui flirtent avec la faute et dont Paris paie aujourd’hui les conséquences. »

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