
Alec Georgen « hyper content » de retrouver le PSG, son club de cœur
Formé au PSG, Alec Georgen va retrouver son club formateur ce mardi soir (21h10, France 2, beIN Sports 1) en demi-finale de la Coupe de France avec Dunkerque. Il aime le nouveau projet du PSG.
Ce mardi soir, le PSG se déplace à Lille pour y défier Dunkerque en demi-finale de la Coupe de France. Au sein de l’effectif du cinquième de Ligue 2, il y a un joueur formé au sein du club de la capitale, Alec Georgen. Arrivé au sein du club de la capitale en 2011, il signe son premier contrat professionnel en 2015 avant de jouer son seul match officiel avec les Rouge & Bleu le 24 janvier 2017. Pour avoir du temps de jeu, il quitte le PSG en 2019 en direction d’Avranches. Dans une interview accordée à L’Equipe, le latéral droit a évoqué ses retrouvailles, son passage à Paris, et sa vision sur le PSG actuel.
Ses années au PSG
« C‘est mon club formateur, mon club de coeur. Je suis hyper content, je vais retrouver des gens que j’ai côtoyés même s’il reste peu de joueurs, Presnel, Marquinhos. Tout joueur formé à Paris a ce rêve de s’imposer au PSG. Alors il y a une petite déception mais aucun regret. La rupture n’a pas été facile mais je me suis servi de tout ça. Le fait de t’entraîner avec des Ibrahimovic, Maxwell à 16 ans te fait progresser à vitesse grand V. Tu vois la rigueur sur et hors du terrain, les exigences. Quand je fais l’historique de ma carrière, je me dis que je n’aurais pas pu m’imposer au PSG à l’époque. Quand on est un jeune du PSG, on est vite mis très haut alors que je n’avais jamais joué en L1 ! Je m’entraînais avec les pros, j’ai beaucoup appris, mais je ne savais pas ce qu’était le niveau L1. Quand je suis redescendu, je me suis juste dit que je devais faire mes classes. Redescendre, c’est formateur. J’ai bossé et gravi les échelons petit à petit. »
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Que vous inspire le PSG actuel ?
« J’étais un peu déçu de la politique du club les saisons passées. Ils ont changé d’axe, ça veut créer un collectif sans stars. Luis Enrique commence à en récolter les fruits. J’adore l’identité qu’ils mettent en place, c’est un peu ce qu’on essaie de faire ici.«