Bitton ne retient que la qualification pour le PSG après City

Le PSG s’est logiquement incliné contre Manchester City hier soir (2-1) dans le cadre de la 5e journée de la phase de poules de la Ligue des Champions. Les Rouge & Bleu avaient pourtant ouvert le score mais les hommes de Pep Guardiola ont finalement validé leur domination avec deux buts. Une victoire qui leur permet de se qualifier pour les huitièmes de finale et verrouiller la première place du groupe. Malgré sa défaite, le club de la capitale est aussi qualifié. C’est ce qu’a voulu ressortir Stéphane Bitton.

« J’ai beau chercher, j’ai passé la nuit à chercher, je ne vois qu’une seule bonne nouvelle de la sortie du PSG hier soir, la qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Qualifié pour la dixième fois consécutive, ce qui est remarquable, il faut le noter. Pour le reste, il faudra attendre. Paris a logiquement perdu. Ce n’est même pas la défaite mais plutôt la manière qui me reste en travers de la gorge, s’agace le journaliste dans sa chronique pour France Bleu Paris. Une fois encore Paris a perdu le combat du milieu de terrain. Certes, Verratti n’était pas là et quand Verratti n’est pas là, cela change tout. […]Il est la pierre angulaire du jeu parisien. Paris est allé au combat et a perdu ce combat du milieu de terrain. Pour battre City, il faut être bon partout. Hier, Paris a été bon quasiment nulle part ou trop peu. Paris ne propose rien, a trop subi. […]Paris n’a pas de collectif, ne joue pas en équipe. Quand Paris subit, Paris manque d’envie, de répondant. […]Pochettino ne sait toujours pas utiliser le talent de Lionel Messi qui devrait rayonner et être au milieu du terrain et au centre du jeu.« 

Stéphane Bitton qui a quand même eu quelques satisfactions côté PSG hier soir. « La aussi j’ai beaucoup cherché. On va dire le trio défensif, Navas, Marquinhos et Kimpembe. Ce sont les trois qui ont permis au PSG d’arriver à la pause sur le score de 0-0. Sans eux, l’addition aurait été plus salée, particulièrement en première mi-temps où Paris s’est fait laminer, trimballer comme pas possible.« 

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