La revue de presse PSG : Berta, Henrique et budget mercato…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce jeudi 18 mai 2017.

« Andrea Berta est le premier choix du PSG mais exige une mainmise sportive, écrit L’Equipe. Dans sa quête d’un directeur sportif, le PSG avance. Doucement, mais il avance. Tout n’était pas encore ficelé, hier, et rien ne devrait être annoncé avant la finale de la Coupe de France, le 27 mai. Ce dossier devrait trouver une issue dans les trois ou quatre prochains jours. Si elle n’était pas positive, Paris se rabattrait sans aucun doute sur Henrique, libre de tout contrat depuis son départ du FC Porto, en 2016. Lui aussi a rencontré les patrons du club de la capitale et il a même été aperçu à plusieurs reprises du côté de Doha. Seulement, la direction parisienne a tiqué sur la réputation qui précède Henrique, actuellement jugé dans son pays dans le procès Fenix, une affaire d’exercice illégal d’activités de sécurité privée. À l’arrivée, si Henrique était l’élu, il constituerait un choix par défaut. « Ce qui est sûr, c’est qu’entre Berta et Henrique il y a une vraie différence de niveau, confie un proche du dossier. Et que le projet du club ne prendra pas la même direction en fonction de celui qui viendra. »

« Le PSG peut à nouveau flamber, s’emballe Le Parisien. En partie débarrassé des contraintes du fair-play financier, le PSG pourra investir massivement lors du prochain mercato. Pas question pour autant de dépenser sans compter. Elle ne pourra creuser, en 2017-2018, un déficit supérieur à 30M€, conformément aux règles du fair-play. Mais les règles budgétaires des clubs de football offrent beaucoup de liberté. Une vente de joueur, réalisée à partir du 1er juillet, sera ainsi comptabilisée intégralement dans les recettes de la prochaine saison. En revanche, un achat de joueur s’amortit sur la durée du contrat du joueur en question. Ainsi, le transfert à 100 M€ d’un joueur engagé pour cinq ans ne vient en fait grever les comptes qu’à hauteur de 20 M€ chaque année. Une somme à laquelle il convient d’ajouter, bien sûr, la prise en charge du salaire. En résumé, si le PSG réalise quelques ventes à partir du 1er juillet, à hauteur par exemple d’une trentaine de millions d’euros (un objectif réaliste), il pourrait s’autoriser à dépenser jusqu’à 150 voire 200M€. »

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