Revue de presse PSG : Cavani & groupe de travail

En ce lundi 23 mars 2020, crise de pandémie de covid-19 oblige, c’est uniquement du côté de L’Equipe qu’on trouvera des articles concernant le PSG.

« À l’initiative de plusieurs grands clubs français, un groupe de travail restreint a été créé vendredi pour agir face aux risques économiques. Cela a provoqué la colère d’autres clubs, rapporte le journal sportif. Il regroupe Noël Le Graet (FFF), Bernard Caïazzo (Première Ligue), Claude Michy (UCPF), Nasser al-Khelaïfi (PSG), Jean-Michel Aulas (OL), qui était représenté lors de la création, et Jacques-Henri Eyraud (OM). Selon ses créateurs, l’objectif est de faire avancer plus rapidement les débats et de ne pas rester dans l’immobilisme provoqué par des réunions vidéos à 50   participants. Mais aussi et surtout de proposer des solutions pérennes au travers de trois  groupes de travail intronisés à compter d’aujourd’hui. […] La décision a été très mal prise. Plusieurs clubs la considèrent comme une tentative de putsch. Ils estiment que les clubs les plus puissants veulent se redistribuer plus avantageusement le gâteau des droits télé, voire accroître leur pouvoir politique. »

L’Equipe fait un bon dans le passé pour évoquer la première année d’Edinson Cavani au PSG (2013-2014). « Il a d’abord connu une adaptation délicate à Paris et à la France, se souvient Damien Degorre. Au fond, il était fait pour Paris. C’est juste qu’il ne le savait pas, enfin pas tout de suite. Quand Cavani est arrivé, il a découvert un pays où la passion était un peu plus feutrée qu’à Naples et les stades un peu moins remplis qu’en Italie ou même en Uruguay. […] La présence d’Ibra constituera un frein. […] Cavani ne se fond pas tout de suite dans un effectif où la colonie auriverde est en nombre et proche de Zlatan. […] Son arrivée au PSG a également coïncidé avec la séparation d’avec la mère de ses premiers enfants. Il ne supporte pas de ne pas voir ces derniers plus souvent. […] « Mais Edi a toujours été irréprochable, dès le début, assure Olivier Létang. Jamais ses états d’âme n’ont transpiré dans la vie du groupe, quels qu’ils aient été. » […] Cela n’explosera pas parce que Cavani ne veut pas quitter Paris après un  an seulement. […] Al-Khelaïfi, qui a pris le Matador en haute estime, prévient très vite que la porte est fermée à double tour, convaincu que l’air parisien finira par lui plaire à tout point de vue. Il n’avait pas tort. »

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