Revue de presse PSG : Abdou Diallo, Alexandre, chômage partiel…
Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 27 mars 2020.
« Recrue la plus chère (32M€) du PSG à l’été 2019, Abdou Diallo, blessé deux fois aux cuisses, n’apparaissait peu ou plus dans la rotation juste avant le confinement, constate L’Equipe. Dans cette période creuse, Diallo reçoit le soutien du club. Leonardo, de la même manière qu’il apprécie l’humilité de Marquinhos, estime que le Français peut être aussi un des symboles de ce Paris travailleur et moins bling-bling qu’il entend promouvoir. Resté dans la capitale pendant cette période d’arrêt des compétitions, Diallo, bien intégré dans le groupe grâce à sa maîtrise de plusieurs langues, ne peut alimenter sa nouvelle dynamique personnelle. Une période que l’intéressé et le club mettent à profit pour nourrir une réflexion autour des douleurs dorsales qu’il a ressenties. Un protocole de soins, voire une intervention en fin de saison, sont à l’étude. À l’aise dans son environnement parisien, convaincu de pouvoir s’imposer, Diallo veut lancer sa deuxième saison sur les bons rails. »
Comme rapporté hier, le PSG va bien recourir au chômage technique ou partiel pour ses salariés, lit-on dans le quotidien sportif. Depuis mercredi soir les salariés sont informés. « Ainsi, le club pourra verser seulement 70 % du salaire brut de ses salariés et se faire rembourser pour chacun par l’État l’équivalent de 4,5 fois le SMIC, c’est-à-dire environ 5 400€ mensuels. Pour les salaires des joueurs, s’ils sont aussi concernés, cela représentera une goutte d’eau. »
Le Parisien se penche sur Alexandre, père de famille de 43 ans qui « ne fait pas que chanter son amour du PSG les soirs de matchs au Parc. […] Comme pour tous les fans, la période est compliquée, avoue ce membre du CUP. La dernière fois que j’ai vu le Parc des Princes, c’était le soir de la victoire face à Dortmund. […] Je me repasse régulièrement des vidéos ou des chants, quitte à me faire taper dessus par ma femme. Mais ça me remet un peu dans l’ambiance. Pour moi, la coupure a été un peu trop brutale. […] Si le championnat reprend et qu’il se joue jusqu’au 15 juillet, c’est tant mieux. D’habitude, quand le championnat s’arrête en fin de saison, la coupure est longue. Cette année, ce ne sera peut-être pas le cas. »