
Vitinha : « Le plus important c’est le collectif, et seulement après vient l’individuel »
Auteur d’une excellente performance lors de la victoire du Portugal face à l’Espagne en Ligue des nations, le milieu du PSG, Vitinha, savoure cette semaine de rêve.
Les Portugais du PSG ont vécu une semaine de rêve. Après le sacre en Ligue des champions avec les Rouge & Bleu, Nuno Mendes, João Neves, Vitinha et Gonçalo Ramos retrouvaient l’Allianz Arena de Munich ce dimanche pour disputer la finale de Ligue des nations face à l’Espagne. Dans un match disputé, la Seleção Das Quinas s’est imposée lors de la séance des tirs au but (2-2, 5-3 aux t.a.b). Si Nuno Mendes a prouvé qu’il était le meilleur à son poste, un autre joueur parisien a également affiché un niveau étincelant face à la Roja. Titulaire dans l’entrejeu, Vitinha a confirmé son excellente forme du moment. Après la rencontre, le milieu du PSG est revenu sur cette victoire du Portugal, dans des propos rapportés par Record. S’il n’a pas caché une usure physique après cette saison intense, le numéro 17 des Rouge & Bleu veut arriver en forme pour la Coupe du monde des clubs.
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La victoire en Ligue des nations
« C’était une semaine de rêve, je m’en souviendrai toute ma vie. Gagner trois matches ici en une semaine, deux titres, et les titres remportés, c’est incroyable. Je suis très heureux pour tous les Portugais et pour cette équipe. Nous méritions cette victoire, elle était attendue depuis longtemps, heureusement que nous l’avons obtenue aujourd’hui, elle est pour tous les Portugais. »
Comment se sent-il physiquement ?
« Tout ce qu’on a fait, le PSG et moi, on l’a gagné. Il reste encore la Coupe du Monde des clubs. C’est vrai que je commence à sentir la fatigue. On va se reposer, autant que possible, pour être au meilleur de notre forme en Coupe du Monde des clubs. La saison est très longue. Il y a de l’usure, je commence à la sentir. C’est dur, la saison est très longue et ne pas avoir de blessures, c’est déjà une victoire. »
Pense-t-il au Ballon d’Or ?
« Je n’y pense certainement pas, je laisse ça aux gens. Le plus important, c’est le collectif, et seulement après vient l’individuel. »