Revue de presse PSG : Trophée des champions, OM, notes…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce jeudi 14 janvier 2021, lendemain de victoire 2-1 contre l’Olympique de Marseille dans le cadre du Trophée des champions 2020 joué à Lens. C’est le dixième Trophée des champions pour Paris, le huitième de suite.

« Malmenés en championnat, critiqués pour leur jeu parfois insipide, les Parisiens ont retrouvé un semblant de normalité, au moment de soulever le 26e trophée de l’ère QSI démarrée en 2011. Leur bruyante célébration collective, qui tranchait dans le silence du stade Bollaert à huis clos, en disait long sur leur soulagement. Relancer le rouleau-compresseur, c’était justement l’objectif assigné à Pochettino, qui a célébré le premier titre de sa carrière d’entraîneur. Battre le rival marseillais est d’autant plus symbolique que le Clasico perdu au Parc des Princes (1-0), il y a quatre mois, avait auguré de l’automne compliqué qui allait être fatal à son prédécesseur », écrit l’AFP. « Cette fois, ses joueurs ont maîtrisé leur sujet et leurs nerfs, comme l’avait demandé ‘‘Poche’’ qui a fait du contrôle des émotions, l’un de ses axes de travail. Balayés le mauvais souvenir de septembre, le début de bagarre générale, les accusations d’injures racistes et homophobe, les cinq cartons rouges. Il est resté une équipe compacte, qui n’a laissé que peu de chances à l’OM. »

La Provence a vu « une défaite logique mais tristounette » pour les siens. « Paris a gagné et on oubliera volontiers cette soirée inutile », lit-on. Du côté de La Marseillaise, on explique que les « Phocéens rêvaient d’une récidive face au PSG. Mais cette fois, les Parisiens ont fait le nécessaire pour priver André Villas-Boas d’un titre dont il rêvait.« 

« Et c’est reparti pour vingt succès d’affilée ? Le PSG a repris ses habitudes face à son rival préféré », commente Le Parisien. « S’il perd un clasico par décennie, le club de la capitale ne devrait pas trop fâcher ses supporters, encore nombreux à l’aéroport du Bourget pour leur rappeler que ce match-là, il compte toujours autant, transcendant les époques et les actionnaires du PSG. Pour Pochettino, il s’agit au passage du premier titre de sa carrière d’entraîneur. Comme il est venu pour cela, autant commencer tout de suite, en sachant que le Trophée des champions ne suffira pas et qu’il ne faut donc pas s’arrêter ici. Pour l’instant, son équipe reste celle de Mauricio Tuchel ou de Thomas Pochettino. Les changements avec l’ère du coach allemand sont minimes à l’œil nu, entre intensité incertaine et morne animation offensive, avec un Di Maria sur courant alternatif et un Mbappé toujours aussi peu mordant. Loin de son talent et de son potentiel. Il continue de traverser sa pire période parisienne. Lui comme les autres ont un mois pour retrouver de l’allure, le temps qu’il faudra au technicien argentin pour poser en partie sa patte sur cette formation si peu encore sûre.«  Les notes du Parisien pour les joueurs du PSG : Navas : 6. Florenzi : 4. Marquinhos : 8. Diallo : 7. Kurzawa : 4. Herrera : 5. Paredes : 6. Verratti : 5. Di Maria : 6. Icardi : 8. Mbappé : 3,5.

Le mouvement social attaque son sixième jour à L’Equipe. Pas de journal papier ce jour. Sur le site internet on peut lire que le PSG « a été porté par Icardi« , mais également par Leandro Paredes « particulièrement à son avantage et beaucoup plus que Verratti, toujours aligné plus haut par Pochettino mais qui n’a guère été impactant, tout comme Ander Herrera. Le trio Paredes-Di Maria-Icardi a été à la manœuvre à Paris. Mbappé a été un ton en dessous et Neymar, de retour de blessure, a effectué une bonne entrée (65e, à la place de Di Maria) avec son but vingt minutes plus tard. »

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