Revue de presse PSG : Verratti, Draxler, Busquets…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce lundi 23 janvier 2017.

« Julian Draxler possède sans doute déjà un record à Paris. Celui du temps de jeu le plus conséquent sans présentation officielle, ironise L’EquipeIl faudra attendre des matches à haute intensité pour le juger avec davantage de précision mais l’Allemand, s’il n’a touché que 37 ballons samedi, se signale déjà par son influence dans l’animation offensive du jeu parisien. […] Presque dans le rôle d’un meneur, il a cherché à accélérer le jeu, sans trop porter le ballon. […] Touché à un mollet à Nantes, Julian Draxler pourrait être préservé par son entraîneur Unai Emery pour la demi-finale de la Coupe de la Ligue qui attend le PSG à Bordeaux, mardi (21h00), afin d’être à 100% face à Monaco dimanche prochain pour le choc de la Ligue 1. »

« Sorti sur civière hier dès la dixième minute de la rencontre face à Eibar (4-0), Sergio Busquets devrait manquer les prochaines rencontres du Barça, et notamment le déplacement au Parc des Princes, où il affrontera le PSG, le 14 février, lit-on également. Le numéro 5 souffrirait d’une entorse du ligament latéral externe de la cheville droite, qui devrait lui valoir entre trois et quatre semaines d’indisponibilité mais lui permettrait donc de jouer le match retour (8 mars). Des examens complémentaires seront réalisés ce matin afin de déterminer la nature exacte de sa blessure. »

« Toujours aussi passionné, Marco Verratti ne cache rien de ses états d’âmes. Il a retrouvé la plénitude de ses moyens après une année perturbée par une pubalgie puis une longue lutte pour retrouver sa meilleure forme, et il rayonne, écrit Le Parisien. Verratti n’a pas perdu son grain de folie. Seul lui peut s’allonger au sol pour donner le ballon en retrait de la tête plutôt que du pied à son gardien. Une excentricité qui lui a valu un carton jaune et une bonne rigolade dans le vestiaire. Cette malice infuse aussi son jeu. Grâce à sa technique et à son sens tactique, il donne du temps à ses partenaires, analyse Eric Carrière. Pour faire cela, il faut prendre énormément d’informations, chez ses partenaires mais aussi ses adversaires. Comme dans une partie d’échecs ou de cartes, il cherche à manipuler l’adversaire, à analyser les indices qu’il donne, et à lui faire croire quelque chose pour partir à l’opposé. »

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