Revue de presse PSG : Dijon, Cavani, CUP, infirmerie, 4-3-3, Titis…

Vu et lu au sujet du PSG ce vendredi 1er novembre 2019 dans la presse hexagonale.

Thiago Silva, « un peu malade », sera absent à Dijon ce soir, rappelle l’AFP. « Edinson Cavani est lui « disponible », alors que plusieurs médias évoquaient ces derniers jours une gêne persistante à une hanche. Tuchel sera privé à Dijon de Neymar, Thilo Kehrer et Meunier, à l’infirmerie depuis déjà quelque temps. Ceux-ci ont été rejoints par Verratti, qui vient de prolonger jusqu’en 2024 mais est touché au mollet droit, et Ander Herrera, victime d’une torsion d’une cheville dimanche. Tuchel a indiqué « espérer » que ces deux joueurs reviennent lundi dans le groupe, afin qu’ils puissent être disponibles pour la Ligue des champions mercredi contre Bruges. Idrissa Gueye est lui disponible après deux semaines sur le flanc. »

L'Equipe du 1er novembre 2019
L’Equipe du 1er novembre 2019

Edinson Cavani « aspire à retrouver la place de titulaire qu’il a perdue, comme l’a confirmé hier son entraîneur, depuis sa blessure à une hanche. Mais la tâche s’annonce ardue et l’attaquant doute qu’on lui donne les chances d’y parvenir, écrit L’Equipe. Icardi, plus jeune (26 ans), serial buteur lui aussi et en passe d’être l’une des coqueluches des ultras parisiens : cela fait beaucoup de qualités pour qu’il succède à l’Uruguayen. Ce dernier, dans la géopolitique du vestiaire parisien, est toujours un électron libre. Il ne jouit pas de liens forts avec Mbappé ou Neymar et le clan des Brésiliens. Pour lui, cela peut constituer un handicap, assurément, d’autant qu’Icardi s’est rapproché de Neymar. Et Tuchel, s’il prend toujours soin de ne pas froisser l’idole du Parc, n’a jamais été un fan absolu de Cavani. Icardi, lui, offre des solutions plus en adéquation avec ses principes de jeu. […] Comme pour rassurer un peu son buteur déclassé, Tuchel a glissé que la saison « sera très longue» et donc que Cavani aura des occasions de jouer. Peut-être dès ce soir. […] Il pourrait être titulaire en attaque, tout comme Kurzawa au poste de latéral gauche dans un très probable 4-3-3, le schéma préférentiel du PSG.« 

Le journal sportif traite de la manifestation hier du Collectif Ultras Paris devant le siège du club et de l’entretien qui a suivi. « La direction du PSG a reçu, hier en début de soirée, quelques leaders du CUP. Le Collectif a déjà annoncé son intention de boycotter les prochains matchs. Les supporters veulent dénoncer l’« acharnement » de la police et du club à leur égard. Ils réclament notamment le départ d’une société de sécurité qui officie dans le Virage Auteuil et qui les dénoncerait à la police. […] Après la réunion, que va décider le PSG ? »

Le Parisien de ce vendredi 1er novembre
Le Parisien de ce vendredi 1er novembre

« Depuis le début de la saison, les Parisiens jouent presque tous leurs matchs dans un système en 4-3-3 qui apporte beaucoup de sécurité au milieu sans nuire au jeu offensif, constate Le Parisien. Une donnée importante, car si Paris possède, sur le papier, une armada offensive unique en Europe, l’implication de tous dans le repli n’est pas une évidence. […] Et quelle place pour Neymar  ? Tuchel devra faire des choix quand le Brésilien fera son retour en novembre. Charge à lui de trouver la formule magique pour faire cohabiter cinq hommes pour trois voire quatre postes si jamais Paris passait à un système en 4-4-2 ou en 4-2-3-1. Une option que ne semble pas privilégier l’entraîneur parisien. […] Si Paris conserve son système en 4-3-3, Neymar peut reprendre sa place à gauche au côté de Mbappé et Icardi ou Cavani. »

« Dur, dur d’être un Titi parisien », titre également le quotidien francilien. « Plusieurs joueurs formés au PSG ont quitté la capitale ces derniers mois pour emmagasiner du temps de jeu dans un nouveau club. Une stratégie qui peine à porter ses fruits, lit-on. Rabiot n’a joué que 311 minutes avec la Juve. […] Diaby (20 ans, Leipzig) et Nkunku (21 ans, Leverkusen) sont abonnés au banc. Le premier a joué 63 minutes, le second, avec trois titularisations, n’est pas mieux loti. […] Le manque d’expérience au haut niveau et le départ soudain de la capitale expliquent aussi ce constat qui s’applique à Zagre (0 minute à Monaco) ou Weah (74 minutes à Lille), contraints à l’exil de manière précipitée. A 18 et 19 ans, ils n’étaient pas encore complètement prêts à s’émanciper.« 

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