Marquinhos : « On garde cette force dans les moments difficiles »
Le PSG s’est imposé ce soir contre la Juventus (2-1) dans le cadre de la première journée de la phase de poules de la Ligue des Champions. Après une très bonne première mi-temps, les Rouge & Bleu on un peu perdu pied et se sont fait peur sur la fin. Mais l’essentiel était la victoire comme l’explique Marquinhos. Le capitaine parisien a aussi tenu à saluer la force de son équipe dans les moments difficiles.
« C’est ça la Ligue des Champions et les matches de haut niveau. Il faut profiter des bons moments, mais dans les mauvais il faut rester costauds. On était à la maison avec ce public très beau, qui nous a donné de la force, salue Marquinhos pour PSG TV. On a eu l’occasion de tuer le match et on n’a pas réussi, c’est ce qu’on doit améliorer pour les prochains matches. Parce qu’en Ligue des Champions il faut tuer le match avant que l’adversaire arrive à marquer et revenir. Après, en fin de match c’était dangereux mais on a su gérer leurs occasions, et l’essentiel c’est la victoire. On garde aussi cette force dans les moments difficiles, de savoir souffrir et ne pas prendre de deuxième but. C’était l’important aujourd’hui. »
Le défenseur central du PSG s’est ensuite penché sur la suite de la saison. « Il ne faudra pas relâcher les efforts. Si un joueur doit souffler, on a un effectif complet pour le remplacer. C’est ça qui fait la force d’un groupe. On a toute une saison à tenir avec des objectifs. Il faut savoir faire tourner l’équipe pour que l’équipe ne se relâche pas. Aujourd’hui le coach a su faire les changements pour redonner de l’énergie à l’équipe, et il faut maintenir le haut niveau parce qu’on va aller chercher des belles choses cette saison.«
En zone mixte, Marquinhos est revenu sur la polémique sur les voyages en avion. « Le club est en train de discuter, laissons faire ceux qui s’en occupent. Nous on n’a pas de souci, si c’est pour le bien de l’écologie, on a déjà pris le train, au Japon, en sélection aussi. Si c’est mieux pour la planète, on va le faire.«